Tue Greenfort

Greenfort Photo © Studio Greenfort

© Photo : Studio Greenfort

Né en 1973 à Holbaek, Danemark
Vit et travaille à Berlin, Allemagne

Démarche

S’appuyant sur des recherches scientifiques approfondies, Tue Greenfort place au centre de sa pratique la relation entre les humains et leur environnement. À travers une conception étendue de l’écologie, il nous confronte aux systèmes hiérarchiques par lesquels nous soumettons la nature. Son travail est toujours ancré dans un lieu en tant qu’environnement offrant des ressources naturelles et comme espace social aux enjeux historiques et culturels. 

Œuvres

Common Ivy Hedera helix 2020-2021

Argile cuite émaillée  

100 x 100 x 7,5 cm - Collection Fondation Villa Datris 

© Bertrand Michau 

Ces deux bas-reliefs sont issus du projet « Weeds », que l’on peut traduire par « Mauvaises herbes », réalisé in situ en 2021 au Rochester Square, lieu de création londonien dédié à la céramique. Pensée comme un monument de célébration aux espèces végétales habituellement rejetées et éradiquées, comme le lierre, chaque oeuvre représente une variété différente de plantes observées au sein de ce jardin. Certaines d’entre elles, comme la ronce d’Arménie, ont été importées de colonies britanniques. Tue Greenfort propose une réflexion sur le pouvoir que nous exerçons à la fois sur la nature et sur d’autres civilisations. 

Expositions

Greenfort2 Tue, Himalayan Blackberry Rubus Armeniacus, 2020 2021, Collection Fondation Villa Datris, Argile Cuite Émaillée, 100x100x7,5cm, Photo © Bertrand Michau
Greenfort1 Tue, Common Ivy Hederahelix, 2020 2021, Collection Fondation Villa Datris, Argile Cuite Émaillée, 100x100x7,5cm, Photo © Bertrand Michau

Himalayan blackberry Rubus armeniacus 2020-2021

Argile cuite émaillée 

100 x 100 x 7,5 cm - Collection Fondation Villa Datris 

© Bertrand Michau 

Ces deux bas-reliefs sont issus du projet « Weeds », que l’on peut traduire par « Mauvaises herbes », réalisé in situ en 2021 au Rochester Square, lieu de création londonien dédié à la céramique. Pensée comme un monument de célébration aux espèces végétales habituellement rejetées et éradiquées, comme le lierre, chaque oeuvre représente une variété différente de plantes observées au sein de ce jardin. Certaines d’entre elles, comme la ronce d’Arménie, ont été importées de colonies britanniques. Tue Greenfort propose une réflexion sur le pouvoir que nous exerçons à la fois sur la nature et sur d’autres civilisations. 

Expositions